Les cas peuvent être multiples:
Toute maladie est pénible et douloureuse. Mentalement et physiquement. L’état d’esprit joue pour beaucoup dans la réussite d’un traitement et la guérison partielle ou complète. Un bon moral permettra d’accepter plus facilement les contraintes médicales et tous les changements qui s’opèrent dans le quotidien afin de mieux vivre cette période difficile.
Quelque soit le traitement médical, sa durée, les effets secondaires qu'il déclenche, il est primordial pour la personne qui le reçoit de se sentir acteur dans cette démarche thérapeutique.
Le stress du futur, des bouleversements de notre quotidien (perte ou limitation de nos capacités physiques et/ou mentale, perte de contrôle, incapacité à vivre comme avant, même momentanément…), du regard des gens, etc… peut devenir, une fois maîtrisé, un allié et non un ennemi qui nous fait perdre nos moyens.
Il est humain d’avoir peur du changement. Pourtant, il ne suffirait pas de grand-chose pour faire en sorte de mieux vivre : imaginer un futur positif, se déconnecter du cercle vicieux de la douleur, faire de son traitement un allié...
La souffrance ne doit pas être une fatalité. Bien sûr elle il ne faut pas la nier car elle est un message d’alerte du corps qui nous dit que nous n’allons pas bien, mais il y a des moyens naturels pour y remédier.
En quelques minutes, à travers de courts exercices de respiration, de prise de conscience de votre corps et de visualisation, la sophrologie peut vous aider à:
La sophrologie ne se substitue en aucun cas à un traitement ou un suivi médical. C'est une technique qui accompagne la personne, en parallèle de la prise en charge médicale.
N'interrompez jamais votre traitement sans avis médical.